Témoignages

« Détlef Kieffer utilise la référence avec un plaisir de gourmet. Chaque œuvre est une confidence, chaque note dévoile un secret… (…) »

Cédric Delesse, Présentation du catalogue de Détlef Kieffer

À lire intégralement ici

Commentaire visuel du peintre après l’écoute de la Sixième Symphonie de Détlef Kieffer (2018)
Site de l’artiste : francois-lenhard.com

Daniel Caspar a écrit ce témoignage après avoir écouté UrRequiem de Détlef Kieffer. Publié lors de l’exposition réalisée en 2008 par les artistes de « Couleur Vinaigre » autour de l’œuvre musicale au Château Saint-Jean le Blanc dans le Loiret. L’exposition et l’audition de la composition ont été reprises en 2009 au Centre Culturel du CRE-RATP à Paris.
Site de l’artiste : danielcaspar.com

Recette « Schlesisches Himmelreich », tirée du livre « Sür un Siess » de Simone Morgenthaler et Hubert Maetz, présentée lors d’une émission télévisée sur France 3 Alsace.

« (…) Cette « grande fresque picturale » dont les cinq tableaux apparaissent comme un polyptyque musical plonge l’auditeur dans l’Imago et le Vertigo provoqués par la référenciation systématique propre à la poïétique de Détlef KIEFFER : vision, songe, évocation ; vertige, étourdissement, éblouissement… Un climat aussi amené et suscité par le néologisme du titre, « Ur » signifiant « originel » en allemand. (…) »

Cédric Delesse au sujet de « UrRequiem »

« (…) Lorsque Kieffer écrit une symphonie pour mandolines, mandoles, guitares et contrebasses, il construit une cathédrale dont les vitraux filtrent la clarté du jour comme les rayons de lune. (…) »

Sébastien Paci, Présentation de la Symphonie n°3 « Contre une nuit trop claire… »

« Le chef d’orchestre », un poème de Brigitte Schohn dédié à Détlef Kieffer.

Exposition des plasticiens de « Couleur Vinaigre » d’Orléans au Centre Culturel de la RATP à Paris XXe autour de « UrRequiem » de Détlef Kieffer (2009)

Cartel de Guy Dehès

à Détlef Kieffer

« UrRequiem », opéra électroacoustique

Les sons sont issus d’instruments électroniques et travaillés savamment pour un chant inouï.

« L », bois, ardoise, verre, sable… et quelques instruments pour faire vibrer, chanter, la chair des choses ? Cela s’adresse non plus à l’oreille mais à l’œil, qui est au cœur du cyclone bienfaisant « UrRequiem »

Guy Dehès

Plasticien

Vit et travaille à Orléans

P.S. : Si c’est bien le silence qui fait la musique, ne serait-ce pas parce que c’est, aussi bien, la licence qui fait la peinture

© Sandra Munch pour la bannière